Au quatrième Gotschi, nous assistons dans toute la Turakie à un exode du peuple des Robinets. Nous pouvons observer sur les routes du pays des milliers de Robinets qui fuient vers un avenir meilleur. Nous présentons ici quelques stratagèmes exemplaires et ingénieux.
En Turakie, ce reptile à tête de robinet, est le premier à s’être complètement affranchi du milieu aquatique en sortant de l’eau pour cause de mauvaise conduite. Sa tête en forme de « robinet » lui permet d’aspirer l’humidité ambiante. Grâce à de petits réservoirs internes, il peut emmagasiner l’eau collectée et ensuite humidifier ses nouveaux espaces de vie.
Cette sortie de l’eau a marqué le début d’un incroyable exode vers la terre ferme où tous les robinets fuient vers un avenir meilleur et l’irrigue.
Les nids de Robinez-à-nez permettent aux mâles d’assurer un attachement nourricier aux petits avant la naissance.
Chez cette espèce, après la ponte épuisante, la mère part au cœur de l’océan, se nourrir de gouttes d’eau pour reprendre des forces et se réhydrater. Le père va alors créer un lien avec chaque oeuf. Ensuite, par capillarité, jour après jour, il fécondera les oeufs un par un, décalant ainsi le moment d’éclosion. Cet étalement des naissances lui permettra de rester disponible à chaque éclosion et gommera dès la naissance la notion de compétition chez les petits.
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